La Grande Pictophonie s’écoute avec des lunettes.
Composée en 3D, elle prolonge cette aventure des musiques visuelles depuis Scriabine et Xénakis jusqu’au VJing.
La Grande Pictophonie est participative.
Elle fait appel au conservatoire pour constituer une Méta-Fanfare de joysticks et au public pour constituer un Méta-Orchestre de gamepads.
La Grande Pictophonie circule entre réel et virtuel.
Hautparleurs embarqués sur le dos des musiciens, ou sons circulant virtuellement d’un haut-parleur à l’autre. Images réelles détournant l’architecture des bâtiments ou images virtuelles en relief traversant les façades.